 
                    Bonjour, à tous,
Une fois n’est pas coutume ; j’étais parti pour écrire une nouvelle qui trottait dans ma tête depuis longtemps. Je savais que cette énigme maritime, par son sujet, serait un long texte. Mais au fur et à mesure de mon avancement, de chapitre en chapitre, il était clair que mon histoire qui se situe en Bretagne devenait un humble roman.
Je pourrais vous en parler longuement, mais je préfère vous en donner la primeur avec un extrait de la préface écrite par mon ami, René Moniot Beaumont, Littérateur de la mer.
Dans la Maison Déshonoré, tout commence par la mise à l’index d’une famille de marins dont l’arrière-grand-père, le capitaine Mathurin Gréantec, fut condamné par la vindicte populaire et la justice pour une affaire ancienne. Voilà des années que la famille Gréantec est montrée du doigt et soudainement cette affaire réapparaît à la suite d’un article paru dans le journal local qui reprend l’affaire 70 ans après.
Recherche de la vérité, c’est le souhait de son arrière-petit-fils Kérian. Mais les familles des anciens membres de l’équipage veillent. Gaëlle, amoureuse de Kérian, la fille d’une de ces fratries haineuses n’a pas le droit de fréquenter ce pestiféré.
L’aventure, le crime, la cupidité, la violence, montrent qu’au fil des pages qu’il n’y a pas que la question : qu’est devenu le capitaine Gréantec ? La recherche d’un « trésor » sert de carburant à tous ces protagonistes dignes des Histoires extraordinaires d’Allan Poe. Un fauteuil, une lampe discrète éclairant l’ouvrage de J-F Zapata, vous lisez et l’aventure s’ouvre à vous.
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                    J’ai écrit ces deux petits textes il y a 14 mois. L’horreur court toujours, et personne ne sait quand cela s’arrêtera.
